Admirer les mille petits dessins que fabrique la vague en mordant le sable, je ne m'en lasse pas, cette musique est un bonheur aussi... 

J'ai toujours envie d'aller voir la mer...

Tiens, je pensais t'avoir laissé un commentaire ici!

J'entends le crépitement de tes bulles de dentelles! Ce son familier est très agréable!

ma grand mère disait: "faire et défaire, c'est toujours travailler", la mer en sa folie travaille même en se promenant puis efface son chef d’œuvre pour mieux y revenir, quelle patience, dire qu'elle sera encore là quand nous aurons disparu

Je préfère celle de Luxeuil (ma région)... bien moins luxueuse  que la tienne mais plus résistante  à luxure... à l'usure ! Oh le vilain lapsus  

J'adore tous ces petits yeux qui pétillent de bonheur en te voyant les photographier... merci Pascal de partager    Bonne soirée.

 

Très beau...plus tu approches de cette écume, plus tu fais apparaître de grandes choses...toutes les îles et tous les continents y sont représentés...pour admirer tous les tableaux rouillés et tous ces tableaux mouillés, il faudrait plus d'une vie !...

Paroles d'écume sur le dernier ressac

S'échouer, repartir ?

Le regard se perd dans la magie du temps 

Très très beau.

J'aime beaucoup ton regard sur ce qui t'entoure et les mots qui te viennent.

Merci pour cette page, Pascal. Passe une douce journée.

Que de Temps pour un éphémère

Que de vagues pour la Dentelière

Que de talent pour embellir la Mer

Merci  Poète pour ton regard et notre plaisir

Je ne te connaissais pas ce talent de brodeur... tu fais çà trés bien! Surtout en NB!!!

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La lumière tisse une dentelle ėphėmère et magnifique faite d'ėcueme et de grains de sable...

Hello. Il semble que tu aies des doigts de fée. :-)

 

Après les folles vagues turquoises, le calme d'une mer grisée et mousseuse qui me ravit tout autant. Très belle valse illustrée qui y ajoute de jolies notes.

Merci.

 

Ah! Quelle dentelière cet océan!

Non, non,  Pascal, tu ne me le feras pas croire. Je sais très bien que ce n'est pas toi qui a brodé la grève et fait de chacune de ces  petites bulles autant de strass qui pourraient nous attirer comme un miroir aux alouettes. 

En revanche je n'ai aucun doute sur l'oeil d'artiste qui a saisi l'instant de flux et reflux dans cette féerie.

Ton regard poétique est un don précieux 

La mer me manque et avec elle le roulis des vagues, le vent, les senteurs d'iode et de varech... Elle est belle aussi en nb