J'ai voulu regarder en arrière et ton petit paradis ne m'a pas porté chance, nouvelle chute, nouvelle fracture, la malléole gauche cette fois. j'ai le moral dans les chaussettes, tout un été à sauter sur une seule jambe!! En plus mon ordi m'a lâchée, j'ai dû en acheter un autre avec des données passées à la trappe. mon jardin sous la pluie me nargue. "aller de l'avant, oser avancer sans craintes, en toute confiance" dit Chinou, comme je l'envie d'âtre aussi positive, pour moi, l'ai l'impression de basculer d'un coup dans la vieillesse.

J'aime beaucoup "l'effet sablier"...

Hypnotique !

Assise devant le banc d'Arguin à écouter le murmure de la brise et le doux clapotis des vagues, j'ai arrêté le sablier pour un temps ; juste le bleu du ciel et de l'eau et des images paisibles défilant sur les sentiers de la pinède , un petit bonheur retrouvé !

Un instant sans fin au cœur du sablier, espace infini où tout se rejoint, où la vie se vit, tout simplement...
Magnifique publication Pascal...

Bonjour Pascal.

Dédé et Chinou ont raison : quand dans le rétroviseur, il n'y a que des larmes,

regarder en arrière est un réel danger!

Et le jour où il reste peu de sable à écouler, alors il faut se discipliner à ne regarder que

vers l'avant !!

Tes photos magnifiques et ton message sont une vraie leçon de vie Pascal !

Je te félicite Pascal pour ce cliché surprenant de routes en forme de sablier : ça déroute !!

Amitiés poétiques.

Maria

Coucou. Il est vrai que si on reste accroché au passé, on n'avance pas dans le bon sens. Tes photos et tes réflexions tombent à pic pour moi aujourd'hui. Quelques soucis à régler mais j'y arriverai! Bises alpines et belle fin de semaine.

Ne plus avoir peur du passé, se retourner sans regrets ni amertume, aller de l'avant, oser avancer sans craintes, en toute confiance......voilà les réflexions que suscitent tes photos. Je te souhaite un agréable week end.