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Rêves d'escalier
09-05-2018
Voir l’escalier
avec son large sourire
nous faire tourner en rond
A chacun son escalier
monter descendre
se croiser se décroiser
Khatia Buniatishvili - Mussorgsky Pictures at an exhibition 14 & 15
L’œuvre complète
Tes photopoésies glissent entre le oui et le non,
elles taisent ce que j'ai cru voir,
elles rêvent ce que je sais.
Elles ne sont pas ce que tu vois,
elles sont ce que tu en as fait.
Tes photopoésies sont bien réelles
et j'ai à peine écrit cela que tes photos s'amusent,
se dissipent,
et que dans ce jeu là
je les vois encore bien plus réelles que ça !
Jamadrou
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Commentaires
Le tout premier cliché me fait grandement penser au chat d'Alice au pays des merveilles avec un air rieur et taquin!
L'histoire ne dit pas qui est arrivé en haut en premier, ou en bas , ou...Je ne sais plus tellement la tête me tourne !!! Bises
Escalier ? Oui tu le sais mieux que moi puique tu l'as photographié de façon inédite et originale......Plus romantique, je vois la fusion de deux coeurs dans un corps à corps artistiquement amoureux,
C'est extra et c'est peu dire ! L'architecte n'y aurait pas pensé, même en rêve ;)
Et Moussorgski semble s'être complètement égaré dans ces escaliers de l'impossible !
5NADINE LE RESTJeudi 10 Mai 2018 à 14:31Tes photopoésies glissent entre le oui et le non, elles taisent ce que j'ai cru voir, elles rêvent ce que je sais. Elles ne sont pas ce que tu vois, elles sont ce que tu en as fait. Tes photopoésies sont bien réelles et j'ai à peine écrit cela que tes photos s'amusent, se dissipent, et que dans ce jeu là je les vois encore bien plus réelles que ça !
La première pourrait faire penser aux moustaches d'un adjudant déjanté. Tu nous tournes en bourrique puis je me retrouve en bas de l'escalier. L'ai-je bien descendu ?
Certains nous font tourner en bourrique mais toi, tu nous fais tourner et retourner dans les rêves. C'est superbe. Bises alpines.
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Comme je m'amuse parmi tes marches...
"Seuls ceux qui se livrent à l'absurde parviennent à l'impossible. Je crois que c'est au sous-sol : je monte un instant pour vérifier." M. C. ESCHER